salle un

se copbmat se dérouleras dans une grande forest , sous un grand soleil chaud et très lumineux.
le terrin est petit et délimiter par un cercle magique.
aucun monstre ni rien d'autre a part végétaux si trouve.

argon comemnce en passant , aller , c'est a toi de partire la dance , vous êtes en passant dans les deux extrémiter

Le soleil réchaufait Argon qui marchait calmement avec son épée du vent à la main. Il ne voulait pas affronter sa femme mais son ami, le Seigneur Sombre leurs avaient préparer un combat dans le secret de tous. Argon avait peur de la blesser ou pire, de la tuer mais il savait qu'il ne pourrait la tuer. La forêt était dense et plus Argon s'enfoncait en son centre, plus les arbres se rapprochaient et devenaient de plus en plus énormes. L'élu fini par être entouré d'arbres et il n'y avait aucune issue à part de retourner sur ses pas. Il s'envola donc pour traverser cette immense forêt. Il n'y avait pas un animal ni un insecte dans cette forêt. On aurait dit que toute trace de vie avait disparue. Argon sentait son coeur battre à la seconde tellement il avait peur de ce qui allait arriver. Aprées avoir voler quelques temps, Argon se posa à terre et commenca à crier.


-Elenos! Es-tu là? Elenos!

Argon entendit du bruit près de lui. Il partit pour s'envoler mais ses pieds étaient enraciné au sol. Sûrement sa famme qui se servait de la pierre de la nature. Ce terrain l'aventagait énormément. Argon prit son épée à deux mains, mit la lame vers le bas et frappa sur les racines. Son épée entra dans la terre avec la force du vent.Argon se mit à courir entre les arbres. Un petit rire de fille se fit entendre un peu plus loin. Argon courru dans cette direction mais quelques racines qui venaient de sortir du sol le fires trébucher et il échappa son épée en s'étalant sur le ventre. Il tenta de se relever et réussit son coup mais des plantes commancaient à pousser autour de son épée. Argon utilisa le vent pour stopper les plantes et rammassa son épée.


-Bien joué mais il en faut plus pour me battre.

Argon vit Elenos passer derriere un arbre et réussit à la suivre. Il retrébucha alors sur une autre racine que sa femme avait fait pousser. La lame de son épée allait fraper la jambe d'Elenos et Argon n'y pouvait rien.

(Alors sombre? je la touche où pas? Le juge décide.)

Elenos rentra ensuite dans un arbre. Elle fut comme aspirée par le tronc son tronc puissant. Une fois dedans, elle regarda l’intérieur. C’était assez vaste, selon la grandeur du tronc et sa avait la même apparence que ceux dans le village des dryades. Un sol mousseux, le tronc paraissait si lisse de l’intérieur alors que de l’extérieur, il avait une face parcheminée. Elenos réfléchissait à comment faire pour ne pas blesser son mari. Il était plus fort qu’elle, certes, mais elle avait l’avantage du terrain. Un bruit sourd se fit entendre. Argon s’en prenait au tronc de l’arbre. Et il était malin en plus.

* Mince, mais je suis encore dedans moi *, songea Elenos.

Elle sortit de l’arbre sans bruit et entra dans celui qui arrivait ensuite. Entre les deux, elle était quelques secondes à découvert, mais sa spécialité était la vitesse. Elle eut le temps de voir le soleil qui s’infiltrait par les trous dans le feuillage des grands arbres. Il l’aveugla un petit peu, c’était ça quand on sortait d’un endroit sombre. Elle avait faillit tomber, car elle rentrait par le haut de l’arbre. Par chance, elle avait prit assez d’élan, et s’étala sur la mousse. Un fois dans l’autre, elle resta aussi pensive que dans le précédant. Elle s’assit ensuite, les jambes croisées.

* Autan combattre, il me vaincra et se sera réglé, je ne vais pas fuir toute la journée. Et quand je serais rétablie, je m’occuperais du Seigneur sombre*, pensa-t-elle, toujours en colère contre l’organisateur de ce combat.

- Tu n’as qu’à te tuer, dit une voix dans sa tête.

- Un suicide en plus ! Tu n’as pas d’autres idées stupides ! Railla une autre voix.

* Non, mais je rêve, pensa Elenos, je suis en train de devenir sénile à force. Je vais m’en tenir au premier plan*

- Oui, mais tu pourrais le blesser, lui dit sa conscience.

Elenos était sur le point de la crise de nerfs. Trois voix se partageaient sa tête. Et puis quoi encore ? Mais, la dernière avait raison, le risque existait toujours. Et si elle le blessait ? Elle ne pourrait jamais se le pardonner. Elle sortit de l’arbre, son épée en main. Son cœur battait la chamade dans son corps, tellement fort que l’on aurait dit qu’il dansait au rythme de ses pas. Une grande feuille la souleva, elle ressemblait étrangement à un tapis volant. La pierre d’Elenos était toujours dans le creux de sa main, elle la serrait tellement fort qu’elle commençait à saigner. Elle cherchait Argon du regard. Vu le petit terrain, ça n’aurait pas été si difficile. Mais, les feuillages stoppaient sa recherche aérienne. Elle commençait à comprendre pourquoi elle avait trois voix dans la tête. Enfin, ce n’était que théorie. La troisième était sa conscience. Tout le monde avait une conscience. La deuxième, c’était sûrement son côté elfe qui empêchait au côté démon de refaire surface. Mais le côté démon commençait à prendre de l’avantage. Le côté elfe était tout ce qui constituait la vie d’Elenos, mais, le côté démon n’avait jamais intervenu dans la vie d’Elenos sauf à quelques rares occasion. Mais, un combat imminent approchant, il voulait prendre le dessus. C’était un véritable combat dans sa tête. Elenos commençait à avoir très mal au crâne et était au bort de l’évanouissement. Elle resta affalée un moment sur la feuille, le temps du combat. Mais, malheureusement, ce fut le côté démon qui prit le dessus.
Les yeux d’Elenos devinrent rouges. Tout disparut dans sa tête, ce fut le vide. Elle empoigna son arme et sauta en direction du sol. Il y avait une dizaine de mètres, mais elle retomba sur ses pieds comme si elle venait de faire un bond de 20 centimètres. Elle ne bougea pas, cherchant l’esprit d’Argon dans tout ce vert. Elenos avait rangé la pierre de la nature dans sa poche, car, même en étant démonne, elle se souvenait que c’était précieux et… puisant. Elle trouva Argon. Elle courut vers lui, son épée au dessus de son épaule gauche. Elle sauta et abattit son arme. Il para de justesse. Il était très étonné. Elle retenta un autre coup, mais plus complexe. L’avantage c’est qu’il était dur à éviter, ça ne laissait qu’un quart de secondes. Elle visa le cou. Il évita, mais elle lui fit une petite entaille dans l’épaule gauche.
Dans sa tête, le côté elfe d’Elenos hurlait à en crever les tympans, sachant que le côté démon était un peu dur d’oreille.

- Laisse le imbécile ! C’est mon mari !

Le côté elfe était impuissant. C’était comme si elle était dans une grande cage.
Le côté démon ignora superbement et attaqua Argon. Elle n’arrêtait pas, mais il paraît à chaque fois. Le combat était à présent rapide. On voyait à peine les lames des épées s’entrechoquer. Son adversaire n’osait pas l’attaquer. Elenos le regardait dans les yeux avec ses yeux rouges. Argon avait du comprendre que ce n’était pas sa femme.
De son côté, le côté elfe tambourinait sur les barreaux de la cage, essayant de les arracher, mais en vain.

(Alors sombre? je la touche où pas? Le juge décide.)
tu doit voir si ta femme trouve une facon déviter et laquelle et ensutie je juge si ses correcte , et laisser moi el temps de répondre plz avant de poster , jétait absent hier soir et se maitin.

Elenos était un peu sonnée après ce coup. Elle évalua la situation. Elle était sans épée, car son arme se trouvait de l’autre côté de la rive du lac. Elle avait une blessure cuisante à la jambe d’où beaucoup de sang s’échappait. Elenos soupira. La situation n’était peut être avantageuse, voir critique, mais elle pouvait s’en sortir. Elle imagina un plan en quelques secondes à peine. Sous son commandement, les branches de l’arbre s’enroulèrent autour de ses bras pour la soulever. Elles ne la serraient pas trop, mais juste assez pour qu’elle puisse être maintenue dans les airs. Elle utilisa son pouvoir de guérison pour soigner sa blessure. Le sang s’arrêta de couler petit à petit. Ensuite, la blessure commença à se refermer et enfin, elle avait des fourmis dans les jambes, à l’endroit où sa blessure avait été soignée.
Après être rétablie, elle sauta au sol. Elle était à plusieurs mètres au-dessus du niveau du sol, mais peut lui importait car, lorsqu’elle retomba, elle était transformée en panthère. Une belle panthère noire qui ne ressemblait en rien à Elenos si ce n’était son regard. Elle fit un saut prodigieux et passa au-dessus d’Argon, courrant vers le lac. Elle se glissa dans l’eau, d’abord les pattes, la tête et le reste du corps. Sa tête sortir ensuite de l’eau et entreprit de nager vers l’autre rive, pratiquant une sorte de crawl. A chaque fois qu’une de ses pattes immergeait dans l’eau, elle avançait d’au moins une bonne vingtaine de centimètres. Elle ne savait pas si Argon la suivait, trop occupée par son objectif. Elle arriva à la rive quelques secondes après, car elle était habituée à nager. Elle eut un peu de mal à remonter, ses pattes mouillées glissant sur la terre. Elle planta alors ses griffes et bondit. Elle retomba sur le sol et s’ébroua, tel un chien, pour enlever l’eau de sa fourrure. Elle courut ensuite vers son épée. Elle l’attrapa dans ses crocs. Elle se retransforma en demi elfe demi démonne, tenant le pommeau de son épée avec sa main droite, le fourreau accroché à sa ceinture, un sourire victorieux sur son visage.
Après avoir récupéré ainsi son épée, elle plongea dans le lac. Ses vêtements la faisaient couler, mais elle se dirigeait justement vers le fond. Elle pouvait retenir sa respiration longtemps, environ dix minutes maximum si elle était sur le point de se noyer. Elle ne tenait plus son épée, mais nageait avec une vitesse incroyable. Une fois arrivée vers le centre du lac, elle s’assit sur le sol. Elle aurait aussi pu pratiquer cet exercice en étant panthère, mais il y avait deux petits problèmes. Le premier était qu’elle ne pouvait pas rester maintenue au fond car il n’y aurait pas le poids des vêtements, mais seulement celui de sa fourrure touffue. Le deuxième étant qu’elle ne nageait pas parfaitement bien avec son corps de panthère. Une fois assise, elle observa les alentours, cherchant la moindre particule végétale vivante. Elle trouva un brin d’herbe, à quelques mètres. Elle nagea vers lui et mit ses mains autour. Elle se concentra, sentant la pierre dans sa poche émettre de la lumière. Le brin d’herbe commença à pousser, devenant une petite pousse, grandissant à une vitesse surprenante. Il devint ensuite un petit arbuste, puis un arbre de taille normale. Il finit sa croissance en un gros arbre, aussi gros qu’un baobab, plus grand que la profondeur du lac.
Elenos fléchit ensuite des jambes et poussa. Elle monta d’environ un mètre. Les branches de cet arbre s’enroulèrent ensuite autour de ses bras, comme le précédent, et entreprit de la faire monter vers la surface. Elle sentait que ses poumons brûlaient, réclamant de l’air. Dès qu’elle fut remontée, elle inspira une grande quantité d’air. Les branches de l’arbre ne l’avaient pas lâchée. A sa grande surprise, l’arbre la propulsa vers la terre ferme, la rive où elle désirait aller. Elle retomba sur ses pieds normalement, comme si elle venait de faire un bond de dix centimètres.

* Même n’étant pas panthère je garde l’agilité. Pratique*, songea-t-elle.

Elle cherchait ensuite Argon. Son regard se posant sur chaque arbre. Elle demanda aux végétaux de le chercher. Elle attendit plusieurs minutes, toujours au même endroit.

- Bien joué.

Elle se retourna violement. Elle avait faillit se tordre le cou. Argon était derrière elle, mais maintenant, devant.

- Je l’ai trouvé ! Lui dit une dizaine d’arbres mentalement.

* Je sais, merci, vous pouvez arrêter les recherches*, leur dit-elle.

Elle reprit ensuite :

- Merci. Mais, tu m’as fait super mal quand même ! Dit-elle en faisant la moue.

Elle ne lui en voulait pas le moins du monde. Mais, par contre, si elle voyait Sombre un jour, elle lui tordrait le cou.
La tête d’Elenos bouillonnait sous les émotions. Elle réfléchissait en même temps. Elle demanda une infinie de secondes après :

- Est-ce que l’on peut abandonner ?

Ça l’intéressait. Comme ça elle ne blesserait pas Argon. Si elle pouvait abandonner.


(je vous le redemande, est ce que l'on peut abandonner ?)

(Sombre c'est à toi de répondre à la question d'Elenos!!!)

-Mais tu est toute mouillé! dit Argon

-Je sais. lui répondit-elle. J'ai plongé.

-Je comprend. Couche toi là que je seche tes vêtements.

Elenos se coucha par terre et Argon s'agenouilla près d'elle. Il l'embrassa et créa un vent léger sur elle qui sécha peu à peu ses vêtements. Comme remerciment, elle embrassa Argon et le combat reprit.

justement oui , on peu abandonenr , c'est la seul facon de perdre ici , car vous naller pas vous tuer jespere , lol.

Argon embrassa Elenos qui était par terre et les deux amoureux se colèrent pendant longtemps et longtemps.