Les ruelles

La ruelle était encombrée de fermiers qui portaient leurs produits au marché. A la différence des riches viles elfiques, au rues bien ordonnées, Mayfil était un dédale inextricable ou mendient et bourgeois tentaient d'avancer dans la masse. Des bâtisses délabrées bordaient les ruelles tortueuses. Le coeur de la cité était ceint d'un mur de terre barbouillé d'un crépi jaune sale.
Les maison étaient haute et étroite, pour compenser le manque d'espace. Les premières s'adossaient au mur d'enceinte. Toutes surplombaient les rues exiguës et ventrées, cachant le ciel, au point qu'on ne distinguait à peine le jour de la nuit. Presque tous les bâtiment étaient faits du même bois brun foncé qui assombrissait encore la ville. Les chaussées étaient sales, et l'air charriait des relents d'égout.
Une bande d'enfants en haillons se poursuivaient entre les maison,en haillons se poursuivaient entre les maisons, se disputant des croûtes de pain. Des mendiants estropié, accroupis devant les portes d'entrées, réclamaient l'aumône à grand cris ; on aurait dit un coeur de damnés.
Les hommes semblaient traité comme des animaux, mais plus loin la misère semblait bien loin, au coeur de la ville les quartier noble entouré le château, semblant délaissait les miséreux qui s'entassaient autour d'eux ....

Solkan marcha dans les ruelles pendant plusieurs heurs, sous la pale lumière de la lune, il se sentit bien, presque en harmonie. Il marcha, les yeux dans le ciel. Quand il pris enfin conscience du temps qu'il avait passait ainsi il secoua la tête, la laideur de la ville et tout ses ennuis revîntes à lui. Il se demanda si il ne faisait pas mieux de partir plutôt que de rester dans cette vile ou seul les ennuis l'attende. Mais pour aller ou ? Il n'avait aucune famille à sa connaissance et encore moins d'amis ou d'attache autre part, dans les belle ville des humain seul la mort l'attendait, il se demanda si il ne valait pas mieux mourir plutôt que de rester dans cette ville ...
Il repensa aux elfes et à leurs luxurieuse caverne. Il aurait pu y rester, vivre avec les elfes qui eux l'accepter. Il eu une pensé pour la femme elfe qui l'avait si bien accueillir. Il se rappelle se quelle lui avait montré, mais il se refusa à y repensé.
Il secoua de nouveau la tête et se replongea dans les méandre de la ville. Il regardait un peu partout, les mendiant devant les portes, les petit enfant si maigre que leurs os étaient visible à travers leurs habit rapiécé.
Solkan s'arrêta soudain, il était devant une porte richement décorait et il lu en lettre fine sur la porte. Ici vit Eran le compteur.
Il fut étonnait que, seul la porte était décorer et que le reste de la maison était identique, voir même pire que les maison alentour.
Il toca puis entra dans la petite maison. Un homme d'âge mure était assit sur une chaise grinçante et il fumer une pipe.
Solkan ne s'attendait pas à trouver quelqu'un d'aussi "normale" dans cette ville décadente.

" - Quoi ? Pourquoi me regarde tu ?
- Eu, rien monsieur, seulement vous paraissez si diffèrent des autres dans cette ville...
- Ha ! Car tu crois que l'on peu appeler sa une ville ? je dirais plutôt une porcherie, et encore, même les porc ne s'entre-tue pas !
- Euh ... Vous avez sûrement raison mais j'aimerais juste vous posez des question. J'ai vu que vous étiez conteur alors ...
- Alors tu t'est demandé si je n'avez pas quelque pièces pour que tu me les chaparde ? Dit l'homme avec un petit rire sans humour.
Solkan se sentit offusqué que l'on pense qu'il se rabaisserait à voler quelqu'un ... Les démon on vraiment détérioré leurs réputation au fils des siècle !
- Non ! Je voudrait juste vous demander une question qui est toujours rester un mister pour moi. Dans les livres ancien, on raconte que seul un homme, un nain et un elfe on était survivent du grand cataclysme, alors, d'où viennent les démons ?
- Haha, tu n'est pas le seul à te demander sa, même si les autres préféré entrainer leurs muscles plutôt que leurs connaissance ! Et bien pour tout te dire, personne ne le sais vraiment. D'aucun disent que les démons sont apparu à cause de la haine et la méchanceté des homme, d'autre disent qu'ils vienne des enfer. Pour tout te dire, je ne crois à ni l'une, ni l'autre de ses deux affirmation.
- Donc vous ne savez pas comment les démons sont apparu ?
Solkan s'apprêtait à se lever de sa chaise et à partir quand l'homme repris.
- Ho... J'ai bien peu être quelques vieux parchemin, des histoire qui raconterais tout cela mais bon, sa ne doit pas t'intéresse je pense.
Une lueurs de curiosité et de joie fit luire les yeux de Solkan.
- Si ! S'il vous plaît, laissez moi regarder se parchemin !
- Pour sa, il te faudra le mériter bien entendu ...

Le silence demeura pendant plusieurs minutes, puis l'homme, ou plutôt Eran le conteur brisa le silence.
" - Je te raconterais se que je sais mais sache que cela ne dois jamasi être divulguer, se secret est garder depuis la nuit des temps et même les dieux actuel n'en connaisse rien. Mais pour mériter se privilège, tu devra me suivre ou que j'aille, me servir et ne jamais me quitter. Si il en est fait autrement alors tu mourra.
Solkan aquiessa, il voulait savoir se secret qui avait l'air si lourd, et servir quelqu'un le ferait peu être partir de cette ville ...

Le conteur commença sont récit.

"Au commencement était le Chaos. Le Monde n'était alors pas Monde et le Temps n'était alors pas Temps. Au commencement étaient aussi des divinités. Le langage, invention des mortels, n'existait pas et ces divinités, n'ayant aucune raison d'être invoquées, ne portaient pas de nom.

Au commencement, le Tout, qui n'était pas encore l'Univers, était peu rempli mais déjà vaste. Une divinité décida de quitter la demeure de ses pairs afin de voyager. Cette divinité, connue comme l'Innommé, car jamais nom ne lui fut donné, parcourut ce qui ne méritait pas encore le titre de Création : le Chaos. Or en ce lieu, rien n'est déterminé. Dans le Chaos, tout existe. Tout peut exister. Si bien que l'Innommé trouva.

Bien que ne l'ayant pas cherché, l'Innommé trouva le secret de la Création. Dépassé par cette connaissance, l'Innommé entreprit de Créer un Monde. Un Monde à Son Image. L'Innommé était devenu Créateur. L'Innommé fit comme décidé. Et l'Innommé vit que cela était Bien. Le Bien était apparu.

Or l'Innommé retourna en le lieu d'où Il était parti - car maintenant, les lieux existaient - et retrouva la foule des autres dieux dans l'était béat qu'ils n'avaient pas quitté. Le prodige de la Création leur fut montré. La jalousie allait naître.

Plusieurs dieux entreprirent le même voyage. Chacun revint avec ses propres découvertes. Nombre de ces découvertes n'avaient cours que dans le Chaos. Nul d'entre eux n'avait découvert le secret de la Création. Seul l'Innommé avait le pouvoir de Créer. Certains des dieux s'étaient approché du secret de la Création et ils modelèrent l'Univers de manière à se donner plus de pouvoir. La Magie fit son apparition. Seule la thaumaturgie allait encore attendre l'apparition de la vie.

Or certains dieux, enfants imbus des possibilités infinies qui leur étaient offertes, s'approchèrent du Monde et commencèrent à jouer. Leurs jeux firent pénétrer le Chaos sur le Monde. Du Chaos sortirait un jour la Vie. Puis la Mort."

...

"L'Innommé, constatant que la perfection qu'avait été sa création avait été souillée, inventa la Colère. L'Innommé voulut inventer la Guerre. Mais ce qui suivit ne fut pas une guerre. L'Innommé, ne connaissant rien de la Destruction, fut détruit.'

Il s'arrêta, fit craquer ses doigts et regarda Solkan dans les yeux. Sella, tu ne doit le révélé à personne, si quelqu'un savais sa, alors le monde dans lequel nous vivons pourrait changer, des guerre pourrait commencer, juste parce-que nous aurions changer les croyance qui, depuis des année sont celle dont tout le monde crois. Malheureusement le texte que je viens de te parler n'est qu'un morceau d'un tout, et je ne possède pas la suite de l'histoire...
Maintenant prépare toi, nous allons partire.

Solkan était encore choqué de se qu'il venait d'apprendre, les dieux que tout le monde vénère ne sont pas des dieux ? Ou du moins ils ne sont pas les dieux de la création du monde. Se cataclysme aurait était fait à la mort de l'Innomé ? Le doute s'envaillit dans son esprit, mais, déjà Eran était prêt à partir et il attendait Solkan au pat de la porte.

Solkan sortit et claqua la porte en partant.

"Vous ne m'avez pas appris comment les démons sont apparu désolé, au revoir."